Articles par :

Eva Sahondra

Rendre sa marque plus visible grâce à Linkedin Ads - Agence Sharing

Comment rendre sa marque plus visible grâce à LinkedIn Ads ?

Comment rendre sa marque plus visible grâce à LinkedIn Ads ? 2000 1500 Sharing

Premier réseau professionnel mondial, LinkedIn a beaucoup évolué ces dernières années pour offrir de meilleurs services à ses utilisateurs. Effectivement, le réseau n’est plus uniquement une référence pour recruter les meilleurs talents ou pour trouver un emploi, il est devenu un véritable tremplin pour les marques. Il est désormais possible de mettre en avant une entreprises grâce à LinkedIn Ads. Comme sur Facebook Ads, la plateforme permet la création de campagnes publicitaires ciblées et mesurables avec des KPIs bien définis. Elle s’avère être un outil efficace pour atteindre une audience professionnelle avec un ciblage et des objectifs bien précis. Néanmoins, avant de vous lancer dans une campagne publicitaire, il est important d’étudier le contexte dans lequel votre promotion va se dérouler afin qu’elle soit une réussite.

Les étapes à suivre pour gagner en visibilité grâce aux publicités LinkedIn

Comme LinkedIn est un réseau 100% professionnel, il est indispensable de connaître précisément ce que vos clients recherchent afin de capter leur attention. Il faut donc pouvoir leur offrir un contenu utile et intéressant avant de penser à comment le leur communiquer via Linkedin Ads. Aussi, pour commencer, la première chose à faire est de bien définir vos objectifs. Que voulez-vous faire exactement ? Faire connaître un service, un produit ? Augmenter la notoriété de votre marque ? Il faut aussi savoir que les publicités sur LinkedIn sont plus chères que sur les autres réseaux, du coup, il faut prévoir le budget nécessaire pour toute la durée de votre campagne. Pour être visible, il faut au moins allouer un budget journalier de 10€ avec un CPC minimum de 2€.

L’étape suivante est l’étude de votre public cible. Il est nécessaire de retravailler vos personas par à rapport à l’objectif que vous vous êtes fixé. Qui sont-ils ? Qu’est-ce qui les intéresse ? Comment se comportent-ils ? Après cette étape, vous pourrez facilement tirer avantage du ciblage très précis de LinkedIn Ads. Il y a en effet plusieurs critères professionnels à utiliser. On peut opter pour un ciblage selon les attributs de l’audience, c’est-à-dire le nom et la taille de l’entreprise où les personnes travaillent, leur localisation, leur poste, leur formation, leurs centres d’intérêts, leur âge, les groupes auxquels elles appartiennent, etc. Il est aussi possible de cibler les visiteurs de son site web ou de créer un ciblage à partir d’un fichier d’adresses e-mail en choisissant « Audiences correspondantes » dans l’interface de Linkedin Campaign Manager.

Quand vous aurez défini ces points importants, vous pouvez vous lancer dans la création de votre publicité. Elle commencera également par le choix de l’objectif de votre campagne publicitaire.

Les objectifs publicitaires proposés par LinkedIn Ads

LinkedIn Ads permet d’atteindre 7 objectifs répartis dans 3 groupes bien distincts : la notoriété, la considération et les conversions. Le premier permet bien évidemment d’asseoir la notoriété de la marque. Il s’agit d’avoir plus d’impressions publicitaires. Le second rassemble :

– Les visites de site web : l’objectif est d’augmenter le trafic vers votre site.

– L’engagement : avoir plus d’interactions sur vos publications et agrandir votre communauté.

– Les vues de vidéos.

Les conversions regroupent quant à elles :

La génération de leads : collecter des adresses e-mails pour gagner des prospects.

– Les conversions sur le site web : à utiliser si vous voulez que vos visiteurs réalisent une action précise comme ajouter un produit à un panier, s’inscrire à un webinar… sur votre site.

– Les candidats : pour trouver les talents (profils) qu’il vous faut pour développer vos activités.

Pour atteindre ces objectifs, vous pouvez vous servir de divers formats publicitaires.

Les formats de publicité disponibles

LinkedIn Campaign Manager est accessible à partir de votre page d’accueil en cliquant sur Produit, puis cliquez sur Faire de la publicité. Il vous offre 4 options :

– La publicité textuelle ou Text Ad : elle se compose d’un texte court (25 caractères pour le titre et 75 pour la description) et d’une image de petite taille. Elle peut apparaître à divers endroits sur LinkedIn : la homepage, les pages profils, les groupes, etc.

– Le contenu sponsorisé ou Sponsored Content : il apparaît sur le fil d’actualités des membres du réseau et aussi sur un réseau de partenaires premium appelé Audience Network. Le contenu peut être un article, une image unique, un carrousel ou une vidéo avec lesquelles on peut rediriger les visiteurs vers un site web ou vers un formulaire situé sur LinkedIn même dans le but de générer des leads. C’est le format idéal pour avoir de la visibilité.

– La publicité dynamique ou Dynamic Ad : elle est personnalisable. Vous pouvez par exemple, dans le cadre d’un recrutement, montrer la photo de profil de l’utilisateur à l’intérieur de votre publicité et l’associer à votre logo. La Dynamic Ads inclut la publicité Follower Ad qui consiste à augmenter le nombre de vos followers, le Spotlight Ad pour avoir plus de visites sur votre site web et la publicité Job Ad pour avoir plus de candidatures pour vos offres d’emploi.

– L’InMail sponsorisé ou Message Ad : c’est le format recommandé pour entrer en contact avec les preneurs de décision. Il permet d’envoyer un message personnalisé qui peut contenir des liens vers des landing pages ou aussi vers un formulaire de génération de leads sur la plateforme de LinkedIn.

Si ces différents types de publicité permettent tous de mettre en valeur votre marque, vous aurez compris qu’il y a néanmoins certains formats plus adaptés à certains objectifs comme la génération de prospect et la recherche de talents. Outre le choix des objectifs et des formats, il est également indispensable de pouvoir mesurer l’efficacité de votre campagne

Comment mesurer la performance de vos publicités sur LinkedIn

Le moyen le plus simple est de vous servir de l’Insight Tag. Il s’agit d’un code Javascript que vous implanterez sur votre site pour connaître les actions que les visiteurs y réalisent. Vous pouvez aussi vous en servir via Google Tag Manager. Néanmoins, LinkedIn Campaign Manager dispose aussi d’indicateurs de performance pour vous permettre de voir les statistiques utiles pour votre évaluation. Elles sont disponibles par campagne et aussi par publicité. Les résultats peuvent être segmentés de plusieurs façons : par nom de conversion, période de temps, catégorie démographique, emplacement LinkedIn vs réseau de partenaires et fiches de carrousel.

Pour finir, comme dans toute campagne publicitaire digitale, les tests sont aussi nécessaires sur LinkedIn Ads. Ils vous permettent de trouver les paramètres les plus performants pour atteindre vos objectifs.

Définition de la blockchain - Agence Sharing

Blockchain

Blockchain 2000 1500 Sharing

La blockchain a fait son apparition en même temps que le Bitcoin en 2008, mais elle n’est pas encore connue de tous à ce jour. Qu’est exactement la blockchain ? Quelle est son utilité ? Comment ça marche ? Les réponses ci-après.

Qu’est-ce que la blockchain ?

La blockchain est une technologie permettant de réaliser des transferts de valeur et d’informations sans passer par un organe central de contrôle, sans frais et sans considération de volume ni de frontière. L’un de ses plus grands atouts est en effet la désintermédiation. Les échanges (des transactions le plus souvent) se font donc directement d’un utilisateur à un autre (peer-to-peer).

Mais la blockchain est aussi une base de données décentralisée. Contrairement aux bases de données habituelles, les données qu’elle contient ne sont pas stockées à un seul endroit, elles sont enregistrées sur l’ordinateur de chaque membre du réseau. Elles sont organisées par blocs liés entre eux par un processus cryptographique, d’où le nom de blockchain. La base de données est mise à jour automatiquement et constamment dans l’ordre chronologique de telle sorte que toute action réalisée sur le réseau est horodatée et est irréversible. Les données ne sont ni modifiables ni effaçables. Elle est donc transparente et surtout sécurisée car son fonctionnement rend tout piratage impossible.

A quoi sert-elle ?

Mise à part l’élimination des intermédiaires qui multiplient les dépenses et rallongent le processus de transaction, la blockchain facilite énormément les échanges entre les internautes. Les transferts de valeurs peuvent se faire rapidement, en toute sécurité et sans duplication. L’économie collaborative s’en trouve en même temps favorisée.

La Blockchain est également en train de donner naissance au Web 3.0 où tout n’est plus contrôlé par les GAFA : les internautes peuvent se servir d’applications décentralisées, transférer des fichiers beaucoup plus rapidement et ont le contrôle sur leurs données personnelles.

Par ailleurs, cette technologie a été créée au début pour rendre possible l’utilisation de la monnaie numérique Bitcoin mais son champ d’application est beaucoup plus large aujourd’hui. En effet, elle peut être utilisée pour enregistrer d’autres types de bien comme les brevets, les papiers d’identité, la musique, les titres de propriété, etc. On notera la possibilité de créer, grâce à la blockchain, des contrats intelligents ou smart contracts qui simplifient et automatisent un grand nombre de procédures dans l’exécution des termes d’un contrat.

On peut même utiliser la blockchain pour améliorer la gouvernance. Grâce à la transparence et l’accessibilité des données, les institutions étatiques peuvent par exemple lutter facilement contre les fraudes électorales. Certaines institutions s’en servent aussi contre le blanchiment d’argent et l’obligation de connaissance des clients (KYC) en analysant les données qui les intéressent sur la blockchain (les transactions effectuées par le client principalement).

Afin de mieux comprendre cette technologie, voyons les principes de base de son fonctionnement.

Comment fonctionne la blockchain ?

La blockchain repose sur 3 entités : les jetons, la communauté constituée par les utilisateurs, les mineurs et les développeurs et le protocole. L’exemple du bitcoin est le plus facile à comprendre. Pour avoir des jetons (donc des bitcoins) et les échanger, un utilisateur doit avoir accès au réseau et pour ce faire, il doit télécharger un portefeuille bitcoin. Il reçoit par la même occasion le protocole qui n’est autre que les règles qui régissent le fonctionnement du réseau. Selon ces règles, ce sont les mineurs qui créent les bitcoins en validant les transactions. Les utilisateurs de la blockchain ont la possibilité de vérifier si l’opération est correcte et c’est seulement après cette vérification qu’un bloc peut être ajouté à la chaîne et les transactions qu’il regroupe validées.

Il existe néanmoins 3 types de blockchains et elles ne fonctionnent pas toutes de la même manière.

Les différents types de blockchains

Selon les champs d’applications, il est possible de se servir d’une blockchain publique, d’une blockchain privée ou d’une blockchain de consortium. La technologie reste la même pour les 3 types de blockchain mais la différence se trouve au niveau de l’accessibilité et du fonctionnement. Dans la blockchain publique, (comme celle de Bitcoin) les utilisateurs sont anonymes, les données sont visibles par tous les membres du réseau et la validation des transactions est également ouverte à tous. Cette dernière fonction est maîtrisée par un seul acteur dans la blockchain privée et est répartie entre les membres du consortium pour le dernier type de blockchain. Les utilisateurs sont connus dans ces 2 derniers cas.

Google lance le mix d’emojis

Google lance le mix d’emojis 2000 1500 Sharing

Google n’en finit pas d’offrir des nouveautés à ses utilisateurs. Sa dernière invention date du 12 février et elle intéresse particulièrement les jeunes et tous ceux qui aiment se servir des smileys pour faire passer leurs messages. Google vient en effet de lancer le mix d’emojis sur Android. En référence au mélange d’expressions qu’il nous fait découvrir et que Google compare à des ingrédients, Google l’a appelé Emoji Kitchen. Ainsi, les utilisateurs pourront ajouter de nouvelles expressions aux 3 178 emojis déjà présents sur Gboard. Il y a environ 800 combinaisons d’emojis. C’est d’ailleurs pour cette raison que le géant d’internet a créé l’Emoji Kitchen.

Mixer les emojis pour mieux s’exprimer

Les designers de Google ont imaginé ces nouveaux emojis dans le but d’aider les utilisateurs à mieux exprimer ces sentiments que leurs interlocuteurs peuvent difficilement comprendre avec des mots ou avec une suite de smileys. Ainsi, un emoji cowboy peut par exemple se décliner en cowboy fantôme, en cowboy singe, en cowboy pensif ou amoureux etc. Tous les emojis peuvent être mixés avec d’autres et le résultat est à la fois expressif et amusant, on a même droit à la crotte qui envoie un cœur ! Néanmoins, la fusion d’emojis est proposée uniquement par Google, pas par l’utilisateur. Autrement dit, on ne peut pas faire les mix nous-mêmes. Pour être plus clair, on vous explique le fonctionnement du mix d’emojis (image)

Comment se servir de l’Emoji Kitchen

L’Emoji Kitchen est facile à obtenir, il faut juste mettre à jour le clavier natif de Google : le Gboard sur votre téléphone Androïd (sauf pour les téléphones Samsung qui possèdent leur propre fonctionnement). Ensuite, il suffit que vous appuyiez sur un emoji pour voir tous les mix que Google propose à partir de cet emoji. Vous pouvez l’utiliser sur tous les messages Google, Messenger, Gmail, SnapChat, WhatsApp, Telegram, etc. Pour ceux qui veulent devenir des testeurs pour la prochaine version du clavier Gboard, Google a mis en place le Gboard Beta Program.

Mesurer la satisfaction client via le digital - Agence Sharing

Utiliser le digital pour mesurer la satisfaction client

Utiliser le digital pour mesurer la satisfaction client 2000 1500 Sharing

Plus important encore que l’obtention d’un bon retour sur investissement, la satisfaction client est l’objectif de toute stratégie marketing digne de ce nom. C’est en effet le garant du développement et de la pérennité des activités de l’entreprise. Mais comment savoir si vos clients sont satisfaits de vos produits ou services ? Pour avoir une réponse, il faut bien évidemment demander leurs avis, mais le véritable souci est de savoir leur poser la question. Comme nous vivons dans une époque où on n’a de temps que pour les choses qui nous importent vraiment, peu de gens sont disposés à participer à un sondage ou à un long questionnaire pour donner ces informations aux marketeurs. La meilleure solution à ce problème est de se tourner vers le digital.

Pourquoi choisir le digital pour mesurer la satisfaction client ?

L’heure est à la digitalisation, notamment dans le domaine du marketing. Une bonne partie des achats se fait en ligne et 88% des clients ont l’habitude de consulter les avis des autres consommateurs avant d’acheter en ligne un produit ou un service. Il paraît donc logique d’emprunter le même chemin pour demander aux clients s’ils sont satisfaits ou non de leurs achats. De plus, la satisfaction client est particulièrement utile pour la e-réputation d’une marque. Un client satisfait est en général fidèle à la marque en question et il a tendance à la recommander aux autres. Par ailleurs, les outils digitaux sont aussi les plus favorables à l’interaction, ils sont rapides et faciles d’utilisation. Plus concrètement, on peut mesurer la satisfaction client à travers des indicateurs précis.

Les indicateurs de satisfaction les plus connus

Chaque entreprise a sa propre technique pour connaître le niveau de satisfaction de ses clients. Il y a d’ailleurs plusieurs options telles les enquêtes in-App (un questionnaire de feedback intégré de manière discrète à un site web), les sondages par mail ou les sondages par chat. Dans tous les cas, elles se servent en général de l’un des indicateurs suivants pour mesurer la satisfaction client :

–    Le CSAT ou score de satisfaction client (Consumer Satisfaction en anglais) : il s’agit de demander aux clients d’estimer leur niveau de satisfaction par rapport au produit ou service sur une échelle de 1 à 3, 1 à 5 ou 1 à 10.

–    Le NPS ou Net Promoter Score : cet indicateur permet de savoir à quel point les clients sont disposés à vous recommander à d’autres. Les consommateurs sont répartis en 3 catégories selon les notes qu’ils attribuent à la marque : 10-9 pour les promoteurs, 8-7 pour les neutres et 6-0 pour les détracteurs. Pour avoir votre score, soustrayez le taux des détracteurs à celui des promoteurs.

–    Le CES ou Consumer Effort Score : ici on mesure le niveau de difficulté que le client a fait pour réaliser son achat. L’échelle varie de 1 à 7, 1 étant la valeur attribuée au moindre effort.

Mais les sites web et les applications ne sont pas les seuls canaux qu’on peut utiliser pour mesurer la satisfaction client, on peut aussi passer par les réseaux sociaux et c’est même la meilleure alternative. 

Mesurer la satisfaction client par les réseaux sociaux : les avantages

C’est bien connu, les réseaux sociaux sont les meilleurs endroits pour échanger directement avec les clients. Outre vos propres réseaux où vous pouvez lire directement les commentaires de vos clients, vous pouvez aussi savoir ce qui se dit de votre entreprise ailleurs en utilisant des outils comme Mention ou Social mention. Les réseaux sociaux offrent aux utilisateurs plus d’espace et plus de liberté, du coup, les socionautes sont plus enclins à vous faire part, parfois en détail de leurs sentiments pendant et après l’achat. De la même manière, vous pouvez leur apporter une solution personnalisée via le réseau utilisé.

Néanmoins, vous pouvez aussi choisir d’autres solutions innovantes comme le chatbot ou la borne interactive placée à la sortie de votre magasin pour connaître le niveau de satisfaction de vos clients. L’essentiel est d’être à l’écoute et réactif aux réactions de vos consommateurs.

Comment briefer une agence de communication- Agence Sharing

Comment bien briefer une agence de communication ?

Comment bien briefer une agence de communication ? 2000 1500 Sharing

Face à la diversité des canaux de communication actuels et à la concurrence entre les marques, il est souvent nécessaire de faire appel à une équipe de professionnels pour mener à bien une campagne de communication. Néanmoins, pour que celle-ci soit une réussite, il est important d’avoir une bonne organisation et elle commence par un bon briefing. Il est donc indispensable de savoir comment bien briefer une agence de communication étant donné que le briefing est à la base d’une collaboration harmonieuse entre les 2 parties. Mais comment préparer un brief pour une agence de communication ? Que faut-il inclure dans le document ? Un brief rédigé est-il suffisant ? Les réponses dans notre billet.

Les prérequis pour réussir le briefing de votre agence de communication

Avant de rédiger votre document pour briefer une agence de communication, il y a quelques procédures à suivre afin d’éviter les malentendus et les pertes de temps.

Pour commencer, organisez une réunion avec les dirigeants et toutes les personnes impliquées dans la réalisation du projet à confier à une agence de communication. C’est cette réunion qui définira clairement les objectifs, le budget alloué, les supports à utiliser et surtout, elle permettra à chacun de donner son opinion afin que tous soient d’accord sur les décisions à prendre. Les divergences entre les collaborateurs d’une entreprise peuvent sérieusement impacter le travail de l’agence de communication choisie. Après la réunion, il est indispensable de synthétiser les idées que tous ont partagé et de les faire valider par les dirigeants. L’implication des dirigeants est capitale pour briefer une agence de communication selon les principes de l’entreprise.

Ensuite, pour plus d’efficacité, pensez à présélectionner 3 ou 4 agences afin que vous puissiez avoir le choix et afin que vous ne soyez pas obligé de tout recommencer au cas où l’agence de votre choix ne puisse pas répondre à vos attentes. Prenez le temps de faire connaissance avec elles, d’avoir des références et de parler de votre projet en même temps. Cela vous donnera également la possibilité d’affiner votre brief.

Maintenant que vous savez exactement ce que vous et votre entreprise attendez de votre prestataire, il est temps de rédiger votre briefing et voici les éléments fondamentaux qu’il faut y inclure.

Que doit contenir un brief agence ?

Comme son nom l’indique, un briefing doit être bref et surtout précis. Il ne devrait donc contenir que les éléments essentiels :

Le contexte

Analyse SWOT de votre entreprise, votre politique stratégique, vos concurrents, le marché dans lequel vous évoluez, les détails sur vos produits, l’historique de votre marque.

Les objectifs

Quel est votre objectif marketing ? Augmenter la vente ? Générer du trafic sur votre site ?  Du point de vue communication, souhaitez-vous augmenter la notoriété de votre marque ? Améliorer son image ? Dans tous les cas, il faut qu’ils soient précis et mesurables.

La cible

Quelle est votre cible et quels sont les freins qui pourraient les empêcher d’acheter vos produits ou d’utiliser vos services ?

Le message à faire passer

Quel est le message publicitaire que vous voulez envoyer à votre cible ?

Les médias à utiliser

L’entreprise indique dans son brief les médias qu’elle envisage d’utiliser pour atteindre sa cible.

Les outils de mesure

L’entreprise propose dans son brief des outils pour mesurer les résultats de la campagne de communication : conversions, chiffres d’affaires, tests qualitatifs et quantitatifs…

Le budget

A chaque étape de la campagne, l’entreprise doit allouer un budget et elle le note dans son briefing. Néanmoins, il est également possible de demander à son agence le budget nécessaire pour atteindre les objectifs prévus.

L’échéancier

Il est important de noter dans le brief la durée de la campagne et le délai de réalisation. Un calendrier doit donc être établi pour bien planifier les actions à mener et délimiter dans le temps les différentes étapes de la campagne de communication.

La synthèse de votre brief

Afin de ne pas obliger tout le monde à parcourir le document entier à chaque utilisation, une synthèse des objectifs à atteindre et des tâches à effectuer est à prévoir à la fin de votre briefing.

Le briefing rédigé sert d’outil de référence aussi bien pour l’entreprise que pour l’agence de communication en question. Il doit être le plus clair et le plus explicite possible afin que le résultat de la campagne soit à la hauteur de toutes les attentes. Toutefois, pour l’optimiser, le briefing verbal est aussi utile.

Pourquoi il faut une rencontre physique avec votre agence de communication

Pour bien briefer une agence de communication, le document écrit est indispensable, mais il ne suffit pas pour tout mettre au point. La communication non verbale est toute aussi importante pour éviter les sous-entendus, pour savoir à qui on s’adresse et comment aborder cet interlocuteur. Par ailleurs, il arrive très souvent qu’une modification en induise une autre comme dans le cas d’une création de site web et c’est un fait qu’on ne peut pas toujours prévoir. Dans ce cas, il est plus pratique de se rencontrer physiquement.

Afin de respecter la liberté des créatifs et aussi pour que vous ayez un bon aperçu sur les prestations de chaque agence présélectionnée, il est recommandé de les briefer séparément au cours d’une réunion, même si généralement, tous les candidats sont au courant qu’ils sont en compétition. Un briefing à l’oral permet en outre d’éclaircir davantage le brief rédigé.

Pour finir, afin que la coopération avec votre agence se déroule dans les meilleures conditions, on vous donne ici quelques conseils utiles. 

Conseils pour une collaboration fructueuse

Bien que ce soit vous qui ayez rédigé le briefing, l’agence qui va mener votre campagne peut également avoir de bonnes idées pour faire passer votre message, spécialement s’il s’agit d’une agence conseil. Aussi, voici quelques astuces pour garder une ambiance sereine tout au long de votre collaboration.

  • A la suite de votre briefing, prévoyez un échange avec votre prestataire pour clarifier les premiers points obscurs.

  • Assurez-vous que tout a été bien compris en laissant votre interlocuteur répéter lui-même les objectifs. 

  • L’entreprise donne seulement les directives, mais elle doit laisser à l’agence assez de latitude pour qu’elle puisse y apporter de la valeur ajoutée.

  • Laissez du temps à votre prestataire pour travailler, ne lui demandez pas des premières idées dès la fin de votre brief.

  • La réactivité est bénéfique pour tous, aussi soyez présent pour toutes les demandes de votre prestataire.

  • Il est important que tous les concernés soient présents aux réunions de brief afin d’éviter les longues chaînes d’interlocuteurs qui déforment les informations.

  • Une réunion de présentation est nécessaire quand une première version du projet est terminée pour une mise au point. Évitez d’utiliser les termes synonymes de « C’est nul » si jamais quelque chose ne vous convient pas.


Les nouveautés de Wordpress 5.4 - Agence Sharing

Les nouveautés de WordPress 5.4

Les nouveautés de WordPress 5.4 2000 1500 Sharing

Après la sortie de la version 5.3 au mois de novembre dernier, WordPress 5.4 est déjà en cours de test. La nouvelle version devrait voir le jour le 31 mars prochain et elle promet d’importantes améliorations pour tous les éditeurs de site. Pour vous faire une idée de ce qu’elle sera, voici les principaux changements que WordPress a prévu pour sa nouvelle version.

L’intégration du lazy loading

C’est la fonctionnalité qui marque WordPress 5.4. Grâce à elle, le chargement des images d’une page web n’handicapera plus la performance d’un site. En effet, le lazy loading est la suite des efforts déjà entrepris dans la version 5.3 sur la manipulation des images HD. Il consiste à charger les images d’une page au scroll et uniquement quand cela est nécessaire. L’existence de l’attribut HTML loading = “lazy” dans les balises d’images ou iframe indique au navigateur s’il doit attendre ou non avant de charger l’image en question.

Lazy loading est une solution native, la fonctionnalité est intégrée directement au CMS et ne nécessite ni l’utilisation d’un autre plugin ni de javascript. Le code exact de l’attribut peut encore changer à l’issue du test et ce nouveau plugin devrait fonctionner sans créer de conflit avec les autres déjà présents sur les sites.

WordPress invite les développeurs qui souhaitent participer au développement du plugin à le faire via https://github.com/WordPress/wp-lazy-loading

De nouvelles options dans l’éditeur

Outre le lazy loading, WordPress a aussi apporté plusieurs améliorations à son éditeur. La première concerne encore les images mais cette fois, on parle plutôt de l’ajout d’image à la une. En effet, on n’est plus obligés de passer par la bibliothèque des médias, on peut le faire plus facilement en se servant de la fonctionnalité glisser-déposer. Il est aussi possible de choisir la taille de chaque image dans la galerie photos avec Wp 5.4.

Toujours dans le but de simplifier l’utilisation de WordPress, de nouveaux blocs sont aussi disponibles pour créer des sites et les optimiser aisément. Désormais, on peut ajouter les icônes des réseaux sociaux sur les pages ou sur les posts depuis le CMS. Bien entendu, elles seront liées aux profils correspondants.

Le bloc de boutons est également une nouveauté : il est maintenant possible de placer un CTA à côté d’un autre et de les personnaliser en changeant leurs styles et leurs couleurs. Un bloc Embed est aussi prévu afin de permettre l’ajout de vidéos TikTok à l’intérieur des articles.

Mis à part les blocs, la gestion des couleurs a également été modifiée : la couleur des images de couverture et celle de l’arrière-plan des blocs sont modifiables. Il est même possible de changer la couleur d’une partie du texte.

Pour finir, WordPress optimise aussi l’utilisation de l’éditeur par les mobinautes. La barre d’outils flottante change désormais selon le bloc à éditer. A noter que la liste ci-dessus n’est pas exhaustive, mais contient cependant les changements majeurs prévus dans WordPress 5.4.

Les meilleurs comptes instagram sur le branding - Agence Sharing

Les meilleurs comptes Instagram sur le branding

Les meilleurs comptes Instagram sur le branding 2000 1500 Sharing

A l’ère du digital, avoir une image de marque forte est indispensable pour se démarquer de ses concurrents. En effet, grâce à internet, le consommateur a accès à toutes les informations à tout moment, il est devenu plus difficile d’attirer et surtout de retenir son attention. Pour se faire une place dans le monde très concurrentiel du marketing digital, il est ainsi important de connaître les nouvelles tendances du branding. Afin de vous aider à suivre la tendance, on vous donne ici les meilleurs comptes instagram à suivre sur le sujet.    

1. Branding Mob

2. Branding Source

3. The Branding

4. We Love Branding

5. The Branding Collective

6. Designers Bookshop

7. Inspo Finds

8. Logo Books

9. Logo Design Resource

10. Logo Inspirations

mesurer sa performance sur linkedin - Agence Sharing

Comment mesurer la performance de votre entreprise sur LinkedIn ?

Comment mesurer la performance de votre entreprise sur LinkedIn ? 2000 1500 Sharing

Réseau de prédilection des professionnels, LinkedIn est un outil précieux pour se faire une place dans le B2B. Néanmoins, pour bénéficier de ses avantages, il faut non seulement s’en servir correctement, mais aussi savoir mesurer les impacts des actions réalisées en vue d’atteindre les objectifs fixés préalablement. Comment faire pour mesurer sa performance sur LinkedIn ? Quels outils utiliser ? Quels critères observer ? Quelles étapes suivre ? Les réponses dans notre article.

Demandez à votre équipe marketing de faire un reporting régulier et détaillé des activités sur Linkedin

Afin de savoir si votre stratégie de présence sur LinkedIn paie ou non, vous avez besoin d’évaluer les résultats de vos actions sur LinkedIn sur une période déterminée. Selon l’ampleur de vos objectifs et la durée de vos campagnes, déterminez avec votre équipe marketing la fréquence à laquelle elle doit faire un reporting de vos statistiques.

Observez votre performance sur LinkedIn à travers les KPIs de votre page

Pour ce faire, servez-vous des statistiques mêmes du réseau. En cliquant sur le menu drop-down Statistiques/Analytics, vous aurez accès à toutes les données sur vos posts, vos abonnés et vos visiteurs. Les KPIs les plus intéressants pour vous sont le taux d’engagement, les commentaires, les clics, le nombre de followers et leurs démographies ainsi que la couverture de vos posts. Sur les posts, observez aussi les réactions et les partages afin de découvrir ce qui fonctionne avec votre communauté. Le CTR (Clics Through Rates) vous permettra aussi de savoir quels sont les contenus qui génèrent des leads qualifiés pour votre entreprise.

Etudiez le trafic généré par vos publications

Vous trouverez les statistiques sur Google Analytics. Choisissez la propriété à étudier puis cliquez sur Acquisition > Social > Overview. Vous pouvez y créer un tableau de bord personnalisé puis l’importer grâce au Google Analytics Solutions Gallery 

Permettez les demandes de renseignements de vente via LinkedIn

Afin de savoir quelles demandes sont issues de votre page LinkedIn, vous pouvez vous servir d’un lien tracké ou d’un code UTM. Il s’agit d’un code qui permet de créer un lien unique afin de différencier les sources de trafic vers une page donnée. Google Analytics permet d’en créer facilement via son outil Campaign URL Builder. Pour créer des liens trackés, utilisez aussi les liens courts de Bit.ly. Si vous avez créé une campagne de publicité sur LinkedIn, il est recommandé d’utiliser LinkedIn Lead Gen form Ads. Vos visiteurs pourront vous envoyer directement leurs coordonnées en échange d’une offre exclusive par exemple. L’autre option est aussi d’ajouter le champ « où avez-vous entendu parler de nous » aux formulaires de contact.

Surveillez les inscriptions (opt-ins) réalisées à partir des posts linkedin

Pour les suivre, il faut avoir créé une landing-page dédiée qui peut être trackée avec Google analytics. Les opt-ins gratuits vous servent à entamer une relation de proximité avec votre audience et à acquérir des informations plus précises et utiles telles des adresses e-mail sur vos followers. Ils améliorent également la notoriété de votre marque.

Comparez les résultats de la période actuelle à la précédente

En ayant sous la main tous ces indicateurs de performance, vous saurez si vos actions sur LinkedIn sont à la hauteur de vos attentes, si vous obtenez le ROI escompté avec vos campagnes sur le réseau ou si au contraire, vous devez changer de démarche, voire de réseau.

Digitalisation des RH - Agence Sharing

Le digital au service des Ressources Humaines

Le digital au service des Ressources Humaines 2000 1500 Sharing

À l’instar des autres services qui constituent une entreprise, les Ressources Humaines ne dérogent pas à la tendance du moment : la digitalisation. Si on a toujours attribué à ce département des fonctions purement administratives, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Avec la digitalisation des ressources humaines, il peut contribuer pleinement à l’évolution et même à la productivité de l’entreprise. Mais afin de comprendre comment cette nouvelle tendance peut impacter la vie d’une société, il faut d’abord connaître son vrai sens. Lumière sur la digitalisation des Ressources Humaines et ses aspects.   

Qu’est-ce que la digitalisation des RH ?

La digitalisation des RH est un ensemble de processus destiné à faciliter la gestion des ressources humaines. Elle repose sur l’utilisation d’outils digitaux qui en général permettent d’automatiser et de dématérialiser les tâches administratives. Le processus vise également à améliorer le bien-être professionnel des salariés et la marque employeur de l’entreprise. Concrètement, la transformation déjà opérée dans la gestion des ressources humaines se reflète dans les faits suivants :

  • L’automatisation des tâches administratives, telles que : la gestion de la paie et des déclaratifs, la gestion des congés et la planification de la main d’œuvre, le planning des activités, la gestion des notes de frais…
  • La flexibilité des horaires et du lieu de travail. 
  • La possibilité pour les salariés de se former en continu grâce aux Massive et Small Online Open Courses (MOOC et SOOC).
  • La gestion électronique des documents.
  • L’existence des réseaux sociaux d’entreprise.
  • La digitalisation du processus de recrutement et de l’entretien individuel.
  • L’usage des réseaux sociaux, des jobboards et des sites carrières pour le sourcing.

D’après une étude réalisée par Infopro Digital Etudes, plus de la moitié des entreprises interrogées n’utilisent encore les outils digitaux que pour les tâches administratives alors que la digitalisation peut être un véritable atout pour l’entreprise. Voici quelques avantages dont vous pourrez bénéficier en digitalisant vos ressources humaines.

Les impacts de la digitalisation RH sur la vie de l’entreprise 

L’automatisation des tâches administratives et la dématérialisation des documents sont les usages les plus fréquents de la digitalisation. La raison en est que non seulement, ils facilitent la gestion mais ils permettent également de gagner du temps. L’entreprise peut ainsi se recentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée et penser au bien-être professionnel de ses salariés. L’usage des réseaux sociaux internes facilite par exemple les échanges entre les collaborateurs et permet aux employeurs de connaître les besoins de leurs salariés. L’impact de la digitalisation se répercute également sur la marque employeur qui se trouve améliorée par la facilité des échanges.

Par ailleurs, la digitalisation RH permet aussi de réduire les coûts liés au recrutement. Désormais, la diffusion des annonces de recrutement se font facilement et gratuitement. Les médias sociaux tels que LinkedIn favorisent particulièrement leur visibilité auprès d’une cible qualifiée. La gestion des talents devient aussi facile avec la digitalisation. Les logiciels de recrutement permettent de créer des CVthèques et de chercher aisément les talents par mots-clés. Les plus avancés en matière de digitalisation peuvent se prêter à l’analyse de ses données RH grâce au big data et aux analytiques. 

Pour les salariés, la centralisation des informations et la fluidité de la communication rendent la collaboration et la vie en entreprise meilleures. Outre le pouvoir de participer à l’optimisation du process RH, ils peuvent consulter librement leurs données personnelles, comme les soldes de congé à tout moment. L’utilisation des outils digitaux en RH offre aussi aux salariés l’opportunité de faire du télétravail ou du flex office. Ils gèrent leurs temps plus librement. A l’ère de la collaboration, les contraintes de la hiérarchie se font moins sentir et l’existence des outils digitaux permet à chaque salarié d’exprimer leurs opinions sur la vie en entreprise.

La digitalisation présente donc plusieurs avantages aussi bien pour l’entreprise que pour les salariés, mais comment faire pour en bénéficier ?

Comment mettre en place le digital RH ?

Pour entrer dans l’ère du numérique, le service RH de votre entreprise nécessitera probablement une réorganisation. Vous aurez besoin de vous équiper d’un logiciel SIRH ou Système d’Information des Ressources Humaines pour commencer. Il vous permettra d’automatiser toutes vos tâches administratives. Mais l’usage d’un nouveau logiciel implique aussi des moyens financiers et souvent de nouvelles compétences ou de ressources. Néanmoins, vous avez aussi la possibilité d’opter pour les modèles Saas ou Cloud. Ils sont moins onéreux, facile à déployer et accessible à tout moment de n’importe quel endroit où il y a internet.

 Il faudra donc prévoir ces changements et aller au-delà des éventuelles barrières culturelles, spécialement sur la mise en place et l’usage de réseaux sociaux d’entreprise. Selon vos moyens, vous pouvez aussi vous procurer un ATS. Pour être à la pointe de la tendance technologique, certaines entreprises se servent également de l’intelligence artificielle pour améliorer le service des ressources humaines. Les chatbots commencent à se faire connaître dans ce département.  

Comment améliorer son customer journey- Agence Sharing

Comment mieux connaître son « customer journey » ?

Comment mieux connaître son « customer journey » ? 2000 1500 Sharing

La réussite de toute stratégie marketing repose sur la connaissance du public cible. Face à l’étendue des choix qui se présentent aujourd’hui aux consommateurs, il est en effet indispensable de pouvoir répondre de manière précise à leurs demandes et pour ce faire, il faut d’abord les comprendre. C’est dans cette optique qu’est né le customer journey, un concept qui intéresse tous les marketeurs désirant développer leurs activités. Mais quelle est exactement la définition du customer journey ? Que faut-il faire pour le comprendre et comment peut-on le rendre meilleur ? Les réponses dans notre article.

Qu’est-ce que le customer journey ?

Le customer journey ou parcours client en français résume l’expérience que vit le client depuis son entrée en contact avec la marque ou l’entreprise jusqu’à l’établissement d’une relation de longue durée avec elle au-delà d’un premier achat. Pour connaître son parcours client, il ne suffit pas de connaître son profil (persona), il faut se mettre à sa place afin de vivre les mêmes expériences et comprendre toutes les émotions qu’il ressent tout au long de son parcours.

Connaître son customer journey est un réel atout pour une entreprise. Il permet de savoir ce qui motive les clients à recourir au service de l’entreprise et à découvrir tous les obstacles qu’ils rencontrent à chaque étape de leurs achats, le but étant de pouvoir y apporter une solution et d’offrir une meilleure expérience client. Afin de connaître le parcours de leurs clients, les marques se servent ce qu’on appelle le customer journey mapping.

Le customer journey mapping pour se mettre à la place des clients

La cartographie du parcours client est un document qui retrace l’expérience vécue par le client à chacune de ses interactions avec une marque en vue de réaliser une action (un achat par exemple). Il illustre tout le processus d’achat et met en exergue tous les points de contact du client avec la marque sans oublier de mentionner l’émotion que le client ressent à chacune de ces étapes. Il n’y a pas de format standard de customer journey map.

Le parcours client peut se dérouler sur plusieurs canaux et la cartographie du parcours tient compte de chacun d’eux. Un client peut par exemple entrer en contact avec une marque sur les réseaux sociaux, transiter par le site web et aboutir sur une conversation téléphonique ou dans un magasin physique. On parle alors de parcours client cross canal. La cartographie illustre donc ce parcours en détail. Pour en créer une, il faut se mettre à la place du client. Voici en résumé comment créer un customer journey map :

1.   Réunir tous les acteurs en relation directe ou indirecte avec la clientèle de votre entreprise et leur faire comprendre l’importance du parcours client.

2.   Définir le buyer persona pour qui la cartographie doit être réalisée : généralement une marque en possède plusieurs types et la cartographie sera différente pour chacun d’eux.

3.   Définir si vous allez cartographier un parcours online, un parcours offline ou un parcours mixte.

4.   Organiser une enquête auprès de vos clients afin de savoir entre autres pourquoi ils interagissent avec vous, par quel canal ils passent pour le faire et combien de fois doivent-ils vous contacter avant de prendre leurs décisions d’achat.

5.   Réunir toutes les données que vous avez sur les personas (les statistiques des réseaux sociaux, les taux de conversion, le taux de rebond de votre site, les indicateurs de satisfaction clients comme le score CSAT…) que vous avez définis auparavant afin de découvrir les failles et les points satisfaisants de votre parcours client actuel.

6.   Utiliser l’ensemble de ces données pour créer votre customer journey map. Vous allez donc simuler un parcours pour chaque profil type de client avec les données que vous avez et vous allez y recenser les points de contact ou Touchpoint : il s’agit de tous les moments où le client entre en contact avec la marque que ce soit avant, pendant ou après l’achat sur n’importe quel canal de communication.

Chacun de vos parcours client devrait vous permettre de découvrir à l’issue de cette étude de déceler les forces et les faiblesses de votre stratégie et d’y remédier. C’est par cette analyse que doit aboutir votre étude. Actuellement, vous pouvez vous servir des dernières innovations technologiques pour améliorer votre parcours client.

Les nouvelles technologies au service du parcours client

Afin que les clients puissent vivre une meilleure expérience dans leur parcours d’achat, les marques ont aujourd’hui la possibilité d’utiliser des technologies dernier cri comme l’informatique de localisation. C’est une technologie qui avantage en même temps l’entreprise et les clients. Elle fonctionne avec la réalité virtuelle notamment pour aider les clients à trouver facilement les produits en promotion dans un supermarché ou dans les magasins près de chez eux. Du côté des marques, elle permet de promouvoir les activités promotionnelles et donc d’augmenter les ventes.

Les marques peuvent aussi avoir recours à la configuration 3D des produits, à la réalité virtuelle ou à la réalité augmentée pour permettre aux clients de vivre une expérience plus amusante et interactive. Ces technologies permettent également aux clients de voir les produits qu’ils veulent acheter sous différents angles et dans un contexte réel. Enfin, les marques sont aussi nombreuses à utiliser les chatbots ou agents conversationnels aujourd’hui pour assister leur client à tout moment.

L’usage de ces technologies est aujourd’hui recommandé afin de faire face à la concurrence et d’offrir les meilleures expériences aux consommateurs.