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Définition et usage du chatbot - Agence Sharing

C’est quoi un chatbot ?

C’est quoi un chatbot ? 2000 1500 Sharing

En cherchant de l’aide sur internet, vous avez peut-être déjà eu à faire à Google Assistant ou à Siri : il s’agit des chatbots vocaux appartenant respectivement à Google et à Apple. Avec Microsoft et Amazon, les 2 géants d’internet sont parmi les précurseurs de cette technologie qui est aujourd’hui devenue indispensable à tous ceux qui utilisent le web. Mais quel est donc cet outil si innovant et à quoi sert-il ?

Définition du chatbot

Le Chatbot, appelé aussi « agent conversationnel » est un outil qui sert à automatiser les conversations avec les internautes. Ce robot peut-être implémenté dans un site web ou dans une application de messagerie. De nombreuses entreprises et marques possèdent aujourd’hui leurs propres chatbots afin d’être plus réactifs vis-à-vis des consommateurs. C’est en effet le principal atout de l’outil car il répond instantanément et de façon personnalisée aux questions des internautes. A condition d’être bien paramétré, le chatbot offre de nombreux avantages aux utilisateurs :

–     Il permet aux marques d’assister leurs clients à tout moment, 24h/24 et 7j/7

–     Il allège le travail du service client

–     Il améliore l’expérience utilisateur

–     Il permet à l’entreprise d’économiser du temps et de l’argent grâce à l’automatisation de certaines tâches

–     Il fidélise les clients

–     Il permet d’avoir une relation de proximité avec les prospects et les clients

–     Il permet d’identifier les points à améliorer sur les services et les produits proposés

Si le dialogue avec l’internaute via le chatbot ne nécessite pas d’intervention humaine, il faut néanmoins surveiller le fonctionnement de celui-ci afin qu’il puisse toujours donner des réponses pertinentes aux consommateurs. Selon les objectifs et les ressources de chaque entreprise, le choix du chatbot à utiliser peut varier.

Les différents types de chatbots

On peut classer les chatbots dans 2 catégories. La première regroupe ceux qui puisent leurs réponses à partir d’une base de données préexistante et les affichent selon les mots-clés tapés par l’internaute. La seconde est plus intelligente car elle est capable d’apprendre et de faire une analyse sémantique pour comprendre les intentions de l’internaute et d’apporter la réponse la plus adéquate. Cette catégorie de chatbot est l’exemple parfait de la machine learning et c’est celle qui est plus adaptée à l’ère actuelle.

Pour connecter votre site ou vos applications de messagerie à un chatbot, il existe aujourd’hui des logiciels de création Saas. Celui de DYDU, l’entreprise française spécialisée en bot (et dont Sharing a conçu la nouvelle identité graphique) vous permet par exemple de créer votre propre chatbot de A à Z, de manière totalement autonome et sans coder. Vous pourrez l’utiliser aussi bien pour votre service client que pour vos collaborateurs car son déploiement peut aussi se faire sur Intranet.

Par ailleurs, Dydu dispose aussi d’autres types de robots conversationnels comme le voicebot et le callbot. A la différence du chatbot qui dialogue par écrit, le voicebot répond aux questions par la voix à travers un support connecté tandis que le callbot est accessible par téléphone. L’entreprise accompagne ses clients dans la construction de l’identité du bot qui leur convient et dans la mise en place de la stratégie de dialogue adéquate. Pour aller plus loin, Dydu crée aussi l’interface conversationnelle des robots humanoïdes et des domobots.

SEO : pourquoi il est vital de s’inscrire sur le long terme

SEO : pourquoi il est vital de s’inscrire sur le long terme 2000 1500 Sharing

Depuis quelques années, le SEO ou référencement naturel est devenu un incontournable pour la plupart des entreprises, notamment celles qui évoluent sur le web. En effet, pratiquement tout le monde passe par internet pour faire un achat, pour s’informer et même pour trouver des solutions à des petits soucis de la vie quotidienne. Pour être visible par les internautes, il est donc capital pour toutes les marques de se trouver dans l’index des moteurs de recherche et c’est à cela que sert le SEO.

Si le moteur de recherche le plus utilisé au monde qu’est Google a mis en place un autre type de référencement plus récemment, le SEO reste la meilleure solution pour les entreprises d’avoir une visibilité durable dans les SERP ( Search Engine Result Page). Afin de mieux comprendre pourquoi il est important d’investir sur le long terme, il est nécessaire de connaître la différence entre le SEO et le SEA.

SEO vs SEA

Pour être indexé par les moteurs de recherche et avoir un bon positionnement dans les pages de résultats, on peut opter, soit pour le SEO (Search Engine Optimization), soit pour le SEA (Search Engine Advertising). Cependant, il y a de grandes différences entre les deux types de référencement. Le SEA permet d’avoir des résultats dans un assez bref délai mais pour ce faire, il faut payer les moteurs de recherche. Le SEO quant à lui peut prendre plus de temps avant de porter ses fruits, mais il est gratuit.

Pour monter dans le classement de Google grâce au référencement naturel, il y a des optimisations techniques à réaliser au niveau du site. Il faut également produire un contenu optimisé ainsi que des backlinks de qualité. Un site qui respecte ces conditions a ainsi toutes les chances d’être bien positionné dans les SERP et de garder cette position pendant longtemps. Le référencement payant ne permet pas de garder un bon positionnement sur une longue période, c’est une solution qui est loin d’être rentable pour une entreprise.

Le référencement naturel est donc un bon investissement pour toute entreprise qui a une vision avancée de son projet. Néanmoins, pour le réaliser, il faut aussi penser au long terme car le SEO n’est pas un travail ponctuel qu’on peut limiter dans le temps.

Le SEO : une stratégie à travailler constamment

Mises à part les optimisations techniques qui peuvent être faites au début du travail de référencement, créer du contenu et acquérir des liens retours sont des tâches à réaliser en permanence afin de ne pas perdre des positions. A la base de la stratégie SEO, les mots-clés sont aussi à suivre et à mettre à jour régulièrement car les SERP changent rapidement en même temps que les termes de recherches utilisés par les internautes.

Pour maîtriser ces paramètres, une intervention ponctuelle ne sera donc pas suffisante. Afin de rester dans la course, l’entreprise doit garder un œil sur sa stratégie et sur l’évolution des SERP. Embaucher un responsable SEO peut ainsi être utile à l’entreprise ou alors, elle peut aussi former ses équipes au référencement naturel. Cette deuxième solution lui permettra d’avoir des ressources humaines à disposition qui auront en outre des points de vue et donc des solutions diversifiées pour ses projets. Il est néanmoins impératif de disposer d’outils pratiques et faciles à manipuler pour ce faire. Pour cela, il existe des solutions Saas comme Seobuddy qui permet aux entreprises de prendre en main facilement leur SEO. 

Mais les avantages d‘un investissement SEO à long terme ne se limite pas à la praticité, il a aussi une répercussion directe sur l’image de l’entreprise et sa notoriété.

Faire grandir la crédibilité de l’entreprise grâce au SEO

Le SEO oblige les éditeurs de sites à assurer leur sécurité, leur structure et leur performance. Il s’agit là de critères techniques capitaux pour avoir un bon positionnement sur les moteurs de recherche. L’expérience utilisateur est en effet très importante pour le référencement. Une fois le site bien placé, le positionnement reste généralement stable sauf en cas de changement de l’algorithme de Google ou au moment où la concurrence devient plus dure comme dans les périodes de soldes ou de fêtes. Le SEO permet ainsi d’améliorer la crédibilité et la notoriété d’une marque via son site et en disposant d’un outil SEO sous la main, elle peut observer l’évolution de la concurrence et anticiper les prochaines stratégies pour les périodes de fort trafic.

optimiser sa campagne Ads avec Seiso - Agence Sharing

Comment SEISO peut vous aider à optimiser vos campagnes Google Ads

Comment SEISO peut vous aider à optimiser vos campagnes Google Ads 2000 1500 Sharing

Google Ads est assurément l’un des meilleurs moyens pour gagner rapidement en visibilité sur internet. Néanmoins, pour qu’il soit réellement efficace, il faut parfois se servir d’autres outils comme SEISO. En effet, il n’est pas toujours évident de comprendre tous les chiffres donnés par la plateforme de Google alors qu’on a besoin d’avoir une bonne visualisation de nos résultats. Si vous vous trouvez dans cette situation, SEISO vous permettra de constater de manière concrète les performances de vos campagnes et vous aidera à prendre les bonnes décisions quant à votre stratégie marketing digitale. Le point sur ce qu’est SEISO, ses atouts et son fonctionnement.

SEISO, c’est quoi ?

SEISO est un outil Saas d’audit de campagnes SEA. Il est 100% gratuit et est certifié Google Partenaire Premier. Cet outil a été créé par JVWEB afin d’aider les entreprises et tous les travailleurs du marketing digital à optimiser leurs campagnes de publicité. Il analyse les campagnes Google Search, Display et Shopping et donne des résultats chiffrés et détaillés pour chacune de ces campagnes. SEISO est aussi capable de générer des « conseils » pratiques que chaque annonceur peut utiliser pour améliorer la performance de ses annonces.

Pourquoi choisir SEISO pour auditer vos campagnes Google Ads ?

Afin de savoir si vos campagnes publicitaires ont réellement porté leurs fruits, vous avez besoin de connaître votre ROI et SEISO peut vous le donner. C’est l’un des principaux avantages de cet outil outre ceux qui sont déjà cités plus haut. En effet, Google Ads ne calcule pas automatiquement votre retour sur investissement. Par ailleurs, si ce dernier vous donne un Quality Score pour chacun de vos mots-clés, SEISO vous donne en plus un score de qualité pondéré. Il peut également analyser la structure de vos groupes d’annonces : une autre option qui n’est pas disponible sur Google Ads.

Mis à part ces quelques atouts, SEISO est aussi un outil simple d’utilisation et rapide. Il lui faut entre 2 et 10 minutes pour générer un rapport d’audit complet. L’utilisation d’un tel outil vous fera économiser beaucoup de temps et d’argent que vous aurez pu dépenser en engageant des consultants externes pour auditer vos campagnes. Grâce à lui, vous pourrez aussi auditer le travail de votre agence webmarketing ou de votre équipe pour pouvoir ensuite fixer un objectif mesurable.

Les autres éléments concrets de l’audit

En vous servant de SEISO, vous aurez un rapport détaillé sur les points suivants :

  • La performance de vos annonces : les clics, les mots-clés, le taux d’impressions dont les impressions perdues, les campagnes ayant un bon ROI mais qui sont sous-exploitées, le Quality Score et la manière de l’améliorer, la façon d’optimiser le ciblage de vos mots-clés pour mieux les matcher avec les termes de recherche.
  •  La répartition des coûts sur chacune des rubriques sus citées : vous saurez alors sur quels mots-clés vous dépensez inutilement votre budget et sur lesquels les coûts de conversions sont trop élevés. Vous y trouverez également l’historique de votre CPC moyen ainsi qu’une colonne sur les ROI à la fin de votre tableau récapitulatif.
  •  Les audiences par tranche d’âge, par genre et par statut parental.
  • Les zones géographiques ciblées et les appareils utilisés.

Pour les campagnes Google Shopping, SEISO permet d’analyser les top produits et le taux d’impression. Il génère également une liste des produits ayant bénéficié d’investissements importants mais qui n’ont pas généré de conversion en plus d’un aperçu sur les produits à faible ROI.

Le rapport détaillé de SEISO se distingue par la présence de recommandations précises et de bonnes pratiques à suivre tout au long de l’audit afin que l’on puisse constater un réel changement sur les résultats de la sponsorisation. Maintenant que vous savez ce que SEISO peut vous offrir, voyons enfin comment l’utiliser.

Comment fonctionne SEISO ?

Pour commencer votre audit gratuit, il vous suffit de vous rendre sur seiso.io et de cliquer sur le bouton « lancer l’analyse ». Vous aurez juste besoin d’autoriser l’outil à se connecter avec votre compte Google Ads, de sélectionner le compte publicitaire que vous voulez analyser et de renseigner les coordonnées nécessaires à l’envoi de votre document. Vous recevrez votre rapport d’audit détaillé en seulement quelques minutes dans votre e-mail ; il est hébergé sous Google Drive. Vous aurez également une version PDF que vous pourrez utiliser avec vos équipes hors connexion.

Il est à noter que les données des campagnes ne sont pas conservées par SEISO et le service propose même aux utilisateurs de leur signer une clause de confidentialité pour les rassurer. SEISO ne modifie en aucun cas les campagnes et il permet de réaliser un audit gratuit par mois afin de faciliter le suivi des optimisations.

Optimisez vos dépenses sur Google Ads - Agence Sharing

Comment optimiser ses dépenses Google Ads

Comment optimiser ses dépenses Google Ads 2000 1500 Sharing

Moyen efficace pour se retrouver en haut des résultats de recherche de Google, les annonces sponsorisées sont utilisées par la plupart des marques. En effet, si le SEO est  utile  pour avoir une position durable dans les pages de résultats de Google, le SEA ou  “Search Engine Advertising” est indispensable pour gagner rapidement en visibilité. Le recours aux annonces sponsorisées est recommandé pour mettre en avant des opérations de marketing  spécifiques comme le lancement d’un nouveau produit, les soldes, les déstockages, etc.

Pour réussir une telle campagne, toutefois, il ne suffit  pas de payer. Apparaître en première page ou encore mieux, en haut de la première page de Google n’est pas chose facile, même quand on paie pour cela. De plus, la campagne peut vite coûter plus chère que prévue si on ne maîtrise pas certaines techniques. Voici donc les fondamentaux qu’il faut savoir pour ne pas perdre de l’argent lors de vos campagnes Google Ads.

Google Ads : comment créer une annonce efficace ?

Google propose différents types d’annonces  mais il y a quelques critères principaux auxquels toutes les annonces doivent répondre pour être publiées à l’emplacement désiré. Pour avoir une chance d’apparaître en première page, votre annonce doit avoir un bon niveau de qualité, c’est-à-dire que :

  • elle est pertinente, autrement dit, elle doit contenir les mots-clés  qui correspondent aux requêtes des internautes. (Une étude de mots-clés doit donc avoir lieu au préalable, ils sont à la base de toute votre stratégie).

  • elle correspond au contenu de la page de destination  (la page de votre site où le visiteur va atterrir après avoir cliqué sur votre annonce).

  • elle obtient  un bon taux de clics de la part des visiteurs.  Pour cela, vous devez soigner le texte de votre annonce et utiliser des « Call-to-Action ».

Google AdWords vous propose également d’autres moyens d’améliorer votre annonce. En ayant  réalisé cette première partie, vous aurez déjà optimisé en grande partie votre campagne mais cela n’est pas suffisant pour atteindre vos objectifs. Il y a un autre facteur qu’il faut prendre en compte : le coût.

Combien coûte une publicité chez Google ?

Il y a presque autant de types de campagnes que de mode de paiement sur Google Ads. Le plus simple et le plus utilisé est le coût par clic ou CPC, c’est-à-dire que l’annonceur est facturé pour chaque clic que les visiteurs font sur son annonce. Néanmoins, il est également possible de payer par conversion, par acquisition et de plusieurs autres manières encore.

C’est l’annonceur qui décide de la somme qu’il veut payer pour sa campagne selon ses moyens, le produit ou service qu’il propose et l’objectif qu’il veut atteindre. Il n’est donc pas possible de définir un coût qui puisse servir de référence à tous. D’ailleurs, le budget quotidien alloué à une publicité est souvent modifié en cours de campagne et c’est l’une des premières actions à entreprendre afin d’optimiser les coûts publicitaires.

Avoir un meilleur ROI sans exploser son budget publicité

Il est normal de chercher à avoir un meilleur retour sur investissement après une campagne de publicité, quel que soit son type. Pour y parvenir avec votre campagne SEA, il y a certaines mesures à prendre. Il n’est effectivement pas suffisant de publier une annonce, il faut régulièrement la suivre afin de pouvoir réorienter sa stratégie et améliorer ses résultats.

Comme les annonces sont diffusées selon les mots-clés utilisés par les internautes, la première chose à faire est donc de surveiller ces termes de recherche. Google Ads les affiche dans un onglet dédié. Il faut exclure les termes sans pertinence ou redondants qui déclenchent l’affichage de votre annonce, mais qui n’induisent pas de clics. Inversement, il faut ajouter ceux qui apportent un réel trafic à votre campagne. Observez également  les coûts de chacun de vos mots-clés pertinents et ajustez-les par rapport à la performance et à l’enchère de la concurrence.

Outre les mots-clés, vous pouvez aussi revoir les points suivants :

  • votre calendrier de diffusion : publiez vos annonces aux moments où il y a le plus de trafic.

  • votre ciblage : en observant vos rapports, vous pourrez constater qu’une certaine catégorie de votre audience ne réagit pas à votre annonce : vous pouvez la supprimer ou réduire votre enchère sur elle.

  •  la gestion de votre budget quotidien : augmentez ou diminuez-le selon les résultats, vous pouvez aussi créer une autre campagne pour diversifier votre approche et partager le budget prévu entre 2, voire entre plusieurs campagnes.

  • vos enchères sur les divers supports : si par exemple, votre audience utilise plus les mobiles que les ordinateurs,  réduisez les enchères sur ce deuxième support.

Pour résumer, l’optimisation de vos coûts publicitaires doit donc se faire progressivement, en ajustant régulièrement les paramètres de vos campagnes jusqu’à ce que vous obteniez les résultats que vous escomptez. Même s’il est vrai que les enchères jouent un rôle important dans le classement des annonces, ce ne sont pas toujours les plus offrants qui sont placés en haut de la page. Vous pouvez tout-à-fait avoir un bon ROI en limitant votre budget et en vous servant des quelques conseils ci-dessus.

Twitch- un outil potentiel pour la marketing digital - Agence Sharing

Twitch : comment s’en servir pour les marques

Twitch : comment s’en servir pour les marques 2000 1500 Sharing

Si vous êtes un gamer, le nom de Twitch ne vous est sûrement pas inconnu. Mais ce ne sont plus uniquement les joueurs qui devraient s’intéresser à Twitch. Désormais, les marques ont aussi tout intérêt à découvrir cette plateforme afin d’atteindre un public qu’elles ne pourraient pas toucher ailleurs. Mais avant de parler de marketing, il est d’abord nécessaire de connaître ce qu’est Twitch et comment elle fonctionne.

Qu’est-ce que Twitch ?

Il s’agit d’une «  plateforme sociale et interactive de live streaming de jeux vidéo ».  Fondé en 2011, Twitch est racheté par Amazon en 2014 pour la coquette somme de 970 millions de dollars. Depuis, la plateforme ne cesse pas de gagner du terrain dans le monde du streaming. Plateforme dédiée à ses débuts aux passionnés de jeux vidéos, elle commence à séduire les marques grâce à une audience qui continue à s’agrandir et qui est plus engagée qu’ailleurs. 

Twitch met à la disposition des visiteurs plusieurs types de jeux et d’autres vidéos diffusés par les streamers, ce qui leur permet d’avoir un très large choix de contenus. Le principal atout de Twitch, c’est de permettre aux visiteurs d’interagir directement avec le streamer via le tchat pendant un live. Grâce à cette option, Twitch crée une relation de proximité avec les utilisateurs qui forment ainsi une vraie communauté. Mais si la plateforme est dédiée aux jeux vidéos, quel intérêt les marques y trouveront-elles ?

Pourquoi Twitch intéresse les marques 

La croissance de Twitch est assez impressionnante. En effet, elle compte plus de 100 millions de visiteurs uniques mensuels, plus d’un million de streamers actifs, un pic de trafic qui dépasse celui de facebook (1,8 VS 1,5) et 16 milliards de minutes visionnées par mois. Le nombre des visiteurs qui utilisent le tchat pour commenter les performances des streamers est également passé de moins d’ 1 million par mois en 2014 à 3 millions aujourd’hui. Twitch a particulièrement brillé en 2018 grâce à Fortnite. Ce jeu a en effet enregistré 434 milliards de minutes visionnées l’année dernière. Selon  Burkhard Leimbrock, Directeur commercial de Twitch pour l’Europe, il y a à tout moment 1,3 millions de personnes sur la plateforme.

Par ailleurs, l’audience de Twitch est essentiellement constituée par des jeunes de 13 à 35 ans dont 70% est formée par des hommes. Passionnés de jeux vidéos et d’e-sports, ce type de public ne regarde plus la télévision et est particulièrement rétif aux publicités traditionnelles alors qu’ils sont de grands consommateurs. Pour ne pas passer à côté d’une telle potentialité, les marques n’ont donc pas d’autres choix que de se servir de leur plateforme favorite : Twitch. Certaines marques ont déjà compris l’importance de cette plateforme et ont déjà eu la preuve de sa puissance. Cette nouvelle tendance est d’ailleurs confirmée par l’apparition de la gamification sur d’autres plateformes comme LinkedIn afin d’inciter les utilisateurs à compléter leur profil.

Le live streaming : une nouvelle forme de publicité

Twitch est l’une des principales plateformes où l’influenceur a toute son importance. En effet, les streamers les plus connus sont considérés comme de véritables stars par leurs abonnés. En passant par eux, les marques ont donc toutes les chances de faire passer leur message à cette communauté grandissante.

A l’exemple de Nike qui a collaboré avec le jeu NBA 2K16 et la licence NBA pour faire la promotion de sa chaussure signature, les autres marques ont  aussi tout à gagner à adopter le même principe. La stratégie consistait à inviter les joueurs à essayer un nouveau mode de jeu avec le basketteur Kyrie Irving tout en leur faisant découvrir les nouvelles chaussures. Ils avaient alors la chance de jouer et de discuter directement avec la star du basket mais surtout, ils pouvaient avoir une paire de Kyrie 2 signée de la main du basketteur s’ils gagnaient contre l’équipe de la star. La stratégie a ainsi touché à la fois la communauté des gamers, les fans de basket de Kyrie Irving et les « sneakerheads ».

La plateforme s’avère également efficace pour l’entraide et les œuvres de charité : les streamers ont réussi à collecter plus de 450 000 euros pour les victimes de l’ouragan Irma en 2017 et plus d’un million d’euros pour Médecins Sans Frontières en 2018. Grâce à l’interactivité de sa plateforme, Twitch est aujourd’hui considéré par de nombreuses personnes comme le prochain concurrent  de Youtube.

Comment Twitch pourrait devancer Youtube

Youtube n’est pas encore près d’être détrôné et Twitch a encore du chemin à faire pour devenir le numéro 1 mondial de la vidéo, mais la concurrence commence à se faire sentir entre les 2 plateformes. Twitch a déjà commencé à élargir son champ d’action vers la cuisine, l’art et même la musique en créant Twitch Creative alors que jusque là, Youtube n’a pas encore pu développer sa branche gaming. Étant donné la préférence des live streamers pour les interactions en temps réel et l’appropriation de cette tendance par les marques, Youtube pourrait-être mis en danger si elle ne réagit pas à temps.

Comment trouver les meilleurs influenceurs - communication digitale - Sharing Agency

Comment identifier les meilleurs influenceurs pour sa marque ?

Comment identifier les meilleurs influenceurs pour sa marque ? 2000 1500 Sharing

Pour faire connaître leurs produits et services, les marques ne peuvent pas se soustraire aux services des médias. Mais tous les médias ne sont pas bons pour toutes les marques, il faut savoir choisir les bons canaux de communication et les utiliser efficacement. A l’ère du numérique, une nouvelle tendance marque l’univers de la communication : l’influence. En effet, les consommateurs sont aujourd’hui moins enclins à réagir aux publicités traditionnelles et tolèrent de moins en moins les publicités qui s’immiscent dans leurs sites ou plateformes favoris. Ils préfèrent se fier aux avis des autres consommateurs, notamment aux dires des influenceurs. Une marque qui veut réussir sa communication a donc intérêt à trouver le média qui dispose du plus grand potentiel pour influencer les consommateurs et à collaborer avec lui.

Comment choisir le média influent pour votre public cible?

Certains outils comme Getfluence permettent de trouver les médias les plus influents à l’échelle internationale et offre tous les dispositifs nécessaires pour travailler efficacement. Néanmoins, pour suivre la tendance du moment, il y a certains canaux de communication qui sont incontournables aujourd’hui.

Sans négliger les médias traditionnels qui ont toujours leur importance dans le monde de la communication, l’influence a surtout sa place sur le web et les médias sociaux. Certes, il y a des réseaux sociaux plus importants que d’autres, mais cela ne signifie pas pour autant qu’ils sont forcément les meilleurs pour votre activité.  Pour identifier le réseau idéal, vous devez d’abord définir votre cible : qui voulez-vous influencer ? Sur quels canaux se trouvent vos consommateurs ? Ensuite, essayez de découvrir à partir de leurs profils à qui est-ce qu’ils font déjà confiance. C’est ainsi que vous pourrez repérer vos premiers influenceurs.  

Qui sont les influenceurs et comment les trouver ?

Les influenceurs sont des leaders d’opinions et ils sont devenus de vrais leviers de communication pour les marques depuis quelques années. Pour cause, 79% des consommateurs font aujourd’hui confiance aux évaluations en ligne. Les influenceurs peuvent être des blogueurs, des youtubeurs, des instagrameurs ou des personnes très suivies sur les médias sociaux.  A vous donc de choisir le canal le plus approprié pour vos produits ou activités.

Pour trouver les meilleurs influenceurs, vous pouvez utiliser des outils gratuits tels que Hootsuite et Followerwonk ou encore des applications comme TrendSpottr for Instagram, Right Relevance Pro,  etc. Il y a également des plateformes qui favorisent les échanges entre les marques et les influenceurs comme Markerly.  Avant de contacter un influenceur, il est important d’observer 3 critères : la pertinence, le reach et l’écho. En d’autres termes, il faut vous assurer qu’il a une base d’abonnés pertinents pour votre entreprise, que le nombre de ses followers est intéressant pour vous et qu’il peut susciter un bon niveau d’engagement pour votre public.  

Quand vous aurez trouvé votre influenceur, il y a également quelques « bonnes pratiques » à savoir pour le convaincre de travailler avec vous.

Méthodologie pour une collaboration fructueuse

Avoir identifié votre influenceur potentiel est déjà un grand pas en avant. Mais pour entrer en contact avec lui et surtout pour espérer faire durer votre collaboration, il faut l’aborder avec subtilité. Un influenceur sera plus disposé à échanger avec vous s’il sait que vous suivez déjà ses activités. Aussi, vous pouvez par exemple participer à l’un des évènements qu’il organise, commenter ses publications.

Une fois le contact établi, sachez que même si son travail est rémunéré, le plus important  pour un influenceur est la « valeur partagée ». Elle peut s’acquérir de différentes manières.  Vous pouvez par exemple lui offrir vos produits pour qu’il les teste, et qu’il partage son expérience sur son blog ou son réseau social. Vous pouvez aussi l’inviter au lancement de votre produit, organiser un concours avec son aide ou encore opter pour les articles sponsorisés. Les marques sont aussi nombreuses à opter pour le « takeover » de nos jours. Il s’agit d’une technique  qui consiste à laisser un influenceur prendre la main sur tous les réseaux sociaux d’une marque pour une durée déterminée. Elle dure généralement une journée.

Pour finir, comme l’objectif de toute stratégie marketing est d’avoir un meilleur ROI ou retour sur investissement, n’oubliez pas de mesurer l’impact de votre campagne d’influence.

freelance

Freelance en marketing digital : comment se lancer ?

Freelance en marketing digital : comment se lancer ? 2000 1500 Sharing

Si le statut de freelance en fait rêver plus d’un, de nombreuses peurs subsistent. Ne plus avoir de revenus et se retrouver en situation de précarité, ne pas savoir gérer la partie administrative, ne pas trouver de clients, ne pas s’épanouir : ces craintes sont naturelles, pourtant il est seulement question de trouver les bons outils. Les besoins des entreprises en matière de marketing digital sont énormes, et il y a de très belles opportunités à saisir, d’autant plus que les entreprises sont nombreuses à faire appel à des freelances plutôt que des agences lorsqu’elles ont besoin de professionnels pour des missions ponctuelles.

Qu’avez-vous à apporter ?

Bien souvent, les diplômés d’écoles de webmarketing ou les personnes qui travaillent en marketing digital pour une entreprise sont de réels couteaux suisses : du graphisme au SEO en passant par le développement web et la gestion des réseaux sociaux, ils ont des notions dans à peu près tous les métiers et sous-métiers du marketing digital.
Dans le monde des freelances, c’est assez différent : les entreprises font plus facilement appel à un expert dans un domaine particulier, qui répond à un besoin précis. Choisissez donc le domaine dans lequel vous pouvez vous rendre expert. À titre d’exemple, si une entreprise recherche un freelance pour une mission de SEO, elle préfèrera certainement un freelance “expert SEO” plutôt qu’un “expert en marketing digital”, même si le niveau de compétences en SEO est le même chez les deux.

Préparez le terrain

Tout d’abord, il est important d’optimiser vos réseaux sociaux, puisqu’ils sont un canal de communication privilégié des freelances. Même si vous n’êtes pas community manager, vous devez montrer que vous connaissez sur le bout des doigts les codes des différents réseaux sociaux. Publiez du contenu, développez votre communauté, et partagez votre expérience : rendez-vous accessible et n’oubliez pas que votre profil peut être la première image qu’un prospect a de vous.

Un client est plus enclin à vous faire confiance s’il peut se projeter, c’est-à-dire se faire une idée de votre niveau de compétences et de ce que vous avez à lui offrir. Créez un portfolio, un site vitrine ou un blog sur lequel vous pouvez partager vos expériences, présenter vos compétences ou publier du contenu. Encore une fois, c’est un vecteur de confiance de la part de vos potentiels clients, et cela démontre que vous êtes un expert dans votre domaine.

La dernière formalité est évidemment de créer votre micro-entreprise. Si cela peut faire peur, le statut micro-entrepreneur (anciennement auto-entrepreneur) a justement été créé pour les entrepreneurs exerçant leur métier seuls. L’inscription se fait en quelques clics sur le site de l’URSSAF, et chaque démarche administrative est simplifiée : les charges sont calculées proportionnellement au chiffre d’affaire et les modalités d’accès sont très simples. Côté compatibilité, la seule obligation est de tenir un livre des recettes. Au delà de 5000€ de chiffre d’affaire, l’ouverture d’un compte bancaire dédié à l’activité est obligatoire.

Trouvez vos premiers clients

Maintenant que vous êtes officiellement freelance, il est temps de trouver vos premiers clients, et le premier outil pour cela est votre réseau. Qu’il s’agisse de votre réseau professionnel, personnel ou même familial, annoncez (via les réseaux sociaux par exemple) que vous débutez votre activité et présentez vos services. On a tous dans nos contacts quelqu’un qui connaît quelqu’un (…) qui pourrait avoir besoin de vos services, alors n’hésitez pas.

Plus ciblées, les plateformes de freelance peuvent vous apporter un gain de temps considérable : il suffit en général de se créer un profil pour voir les missions arriver. Certaines plateformes comme Malt sont spécialisées dans les métiers du marketing digital.
Les meilleurs plateformes freelance

Le démarchage est certainement la manière la moins agréable pour les freelances de trouver des clients, pourtant cela peut s’avérer assez utile en période creuse. Sur LinkedIn, il est possible de préparer des messages de présentation pré-enregistrés. Ajoutez de potentiels clients en contact (cinquante par jour au maximum), et faites vous connaître grâce à un message cordial qui présente très brièvement vos compétences et appelle le destinataire à interagir.

Enfin, adoptez une stratégie d’inbound marketing : laissez les clients venir à vous. Evidemment, cette technique est la plus longue et fastidieuse, mais certainement la plus valorisante. Soyez actif sur les réseaux sociaux, partagez du contenu pertinent, que vous avez créé ou tout simplement trouvé et qui représente votre activité. Être capable d’écrire des articles à haute valeur ajoutée sur votre métier est le meilleur moyen de démontrer que vous maîtrisez le sujet. Si vous avez choisi de créer un blog, pensez SEO : un bon référencement vous apportera du trafic et donc de potentiels clients, sans que vous n’ayiez à les démarcher vous-même.

Prêt à vous lancer en tant que freelance ?

Vous avez toutes les clés en main pour démarrer correctement votre activité. L’intérêt principal du freelance est la multitude de projets que l’on peut vous confier : en travaillant avec des clients différents et de secteurs variés, aucune journée ne ressemble à la suivante. Vous gagnez de l’expérience chaque jour et êtes rémunérés à la hauteur de votre engagement. Surtout, n’oubliez jamais que même si le freelance est un choix de vie, il n’a rien de définitif : vous pouvez revenir dans le monde de l’entreprise à tout moment.

vidéo

3 raisons d’intégrer la vidéo dans votre stratégie marketing

3 raisons d’intégrer la vidéo dans votre stratégie marketing 2000 1500 Sharing

Plus qu’une simple valeur ajoutée, la vidéo est devenue incontournable dans le cadre d’une stratégie marketing, et cela depuis plusieurs années. Aujourd’hui, la réelle différence est que la vidéo est présente sur toutes les plateformes et canaux. Cisco estime d’ailleurs qu’elle représente plus de 80% du trafic global d’internet.
Si vous n’êtes toujours pas convaincus, voici 3 raisons de l’intégrer à votre stratégie marketing.

8 secondes pour convaincre

Aujourd’hui, le temps d’attention moyen est de huit secondes. Parallèlement, on constate qu’une vidéo est bien plus engageante que n’importe quel autre format : sur Facebook, l’année dernière, 82% des posts les plus engageants étaient des vidéos. De manière générale, les vidéos génèrent près de 60% d’engagement en plus que les autres formats.
Avec la démocratisation des formats courts, notamment avec les stories sur Snapchat et Instagram, et au vu de ces statistiques, le meilleur moyen de capter l’attention de ses visiteurs en 2019 est de miser sur une vidéo à la fois courte et percutante.

La vidéo pour engager ses clients

Selon une étude de HubSpot Research, 54% des consommateurs souhaitent voir des vidéos de marques plutôt que tout autre type de contenu. 90% des clients disent également que les vidéos les aident à prendre des décisions d’achat. Autrement dit, une bonne vidéo est un réel argument de vente.
Par ailleurs, la vidéo donne aux clients et prospects la possibilité d’être en immersion totale dans l’univers d’une marque. Il s’agit d’un format dynamique et authentique, extrêmement bien perçu par les consommateurs, et qui par conséquent s’inscrit parfaitement dans une démarche d’Inbound Marketing.

Une infinité de possibilités

Démonstrations, aftermovies, interviews d’experts, vidéos pédagogiques, études de cas, témoignages, live, réalité virtuelle, vidéos en 360°, réalité augmentée : le format vidéo offre une infinité de possibilités. Dans une stratégie de content marketing, où la variété du contenu est un gage de qualité, la vidéo apparaît comme un format extrêmement polyvalent et approprié.

Expérience Utilisateur

Comment améliorer l’expérience utilisateur de son site web ?

Comment améliorer l’expérience utilisateur de son site web ? 2000 1500 Sharing

L’UX, ou expérience utilisateur, désigne un ensemble d’éléments qu’un internaute prend en compte (consciemment ou inconsciemment) pour se faire une opinion d’un site web. Une bonne expérience utilisateur résulte de deux critères fondamentaux : la simplicité d’utilisation d’un site et les émotions ressenties par l’internaute lors de sa navigation.

Plus c’est simple, mieux c’est

Les tendances en matière de design web se généralisent vers des sites épurés et minimalistes. Il est donc fortement déconseillé de surcharger chaque page, avec de nombreuses animations, trop de couleurs ou des fenêtres surgissantes trop intrusives, par exemple. L’efficacité d’un site web réside en sa faculté à délivrer la bonne information au bon moment. Misez donc sur un design simple, aéré et équilibré : aidez vos visiteurs à trouver ce qu’ils cherchent.

Concernant les couleurs et les polices, il est primordial de rester cohérent sur l’ensemble du site : ne multipliez pas les polices et respectez toujours le même code couleur. Ces deux éléments sont bien plus importants qu’il n’y paraît : votre site web reflète votre image de marque. Respectez votre charte graphique, et créez un design cohérent avec votre univers. En naviguant sur votre site, l’utilisateur doit rapidement en comprendre la structure : distinguez les titres et sous-titres des paragraphes, choisissez une couleur pour les liens et appels à l’action (call to action) et espacez les zones de textes pour que la lecture soit simple et intuitive.

Pensez « mobile first »

En France, le mobile est le premier outil de connection. Autrement dit, si vous cherchez à optimiser l’expérience utilisateur de votre site, optimisez-en la version mobile. Si certains de vos visuels sont parfaitement adaptés à un écran d’ordinateur full HD, il ne le seront peut être pas pour un écran de smartphone, de même qu’une image qui charge rapidement sur un ordinateur aura peut être un temps de chargement plus long sur mobile. Réduisez le poids de vos images et testez chaque élément de votre site afin d’avoir une interface qui s’adapte au plus de supports possibles. Concernant le temps de chargement des pages, sachez que si celui-ci est trop lent, l’internaute n’hésitera pas à passer son chemin. Sur mobile, 50% des utilisateurs quittent un site si celui-ci n’a toujours pas chargé au bout de trois secondes. Des CMS tels que WordPress proposent des plug-ins permettant de calculer le temps de chargement des pages et l’optimiser.

Créez un site ergonomique

Vos visiteurs doivent savoir dès qu’ils arrivent sur votre site ce qu’ils vont y trouver, mais surtout comment parvenir à ce qu’ils recherchent. Un utilisateur ne doit pas cliquer plus de trois fois pour accéder au contenu qu’il recherche. Des études en eye-tracking montrent que les utilisateurs voient le contenu situé en haut à gauche d’une page en premier, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle le logo s’y trouve souvent. L’émotion ressentie est le fondement d’une expérience web réussie. Proposez à vos visiteurs une expérience “sur mesure”, avec des call to action intuitifs, une stratégie de contenu cohérentes, une réponse aux besoins et problèmes des internautes, un tunnel de conversion engageant, ou pourquoi pas des contenus ludiques sur le principe de la gamifiation. D’autres procédés se développent de plus en plus en ligne, notamment le motion design et les expériences immersives. En résumé, offrez du contenu varié et à forte valeur ajoutée aux internautes, surprenez-les avec une expérience unique pour leur donner envie de rester sur votre site, mais rendez surtout la navigation simple et fluide. Mettez-vous à la place des internautes : ils doivent pouvoir accéder simplement aux informations qu’ils recherchent, que ces informations aient une réelle valeur ajoutée et que la navigation sur votre site soit agréable visuellement et fluide.

Google Analytics

Les 14 indicateurs les plus confondus sur Google Analytics

Les 14 indicateurs les plus confondus sur Google Analytics 2000 1500 Sharing

Audience et Visiteurs

1. Utilisateurs
Autrefois appelés “visiteurs uniques”, les utilisateurs correspondent au nombre de personnes qui ont visité votre site sur une période donnée. Il est difficile pour Google de comptabiliser avec précision le nombre de visiteurs, puisqu’il est possible qu’un même utilisateur se connecte plusieurs fois via des terminaux différents et soit donc compté plusieurs fois.

2.  Sessions
Autrefois appelées “visites”, les sessions correspondent au nombre de visites sur votre site sur une période donnée. Google Analytics considère qu’une session dure trente minutes, autrement dit si quelqu’un visite votre site plusieurs fois dans la journée à des intervalles de plus de trente minutes, plusieurs sessions seront comptabilisée (mais un seul utilisateur).

3. Nouveaux utilisateurs vs. Utilisateurs connus
Google Analytics différencie les personnes qui se connectent pour la première fois sur votre site des utilisateurs qui le visitent à nouveau. Si le nombre d’utilisateurs est difficile à quantifier précisément pour Google, le nombre d’utilisateurs connus l’est encore plus, puisque là encore il est possible qu’un utilisateur se connecte plusieurs fois via des terminaux différents.

4. Utilisateurs actifs en temps réel
Dans la section “temps réel”, le nombre d’utilisateurs actifs correspond au nombre d’utilisateurs ayant visité votre site au moins une fois au cours des cinq dernières minutes.

5. Utilisateurs actifs dans l’onglet “Audience”
Dans la section “Audience”, vous pouvez voir le nombre d’utilisateurs ayant utilisé votre site au cours des 1, 7, 14 ou 28 derniers jours. Plus les courbes sont proches, et plus vos utilisateurs sont fidèles, puisque cela signifie qu’ils se connectent régulièrement sur votre site.

6. Mots clés
Dans la section “Temps Réel”, les mots clés les plus courants correspondent aux mots clés (naturels ou achetés) qu’ont saisi les utilisateurs pour arriver sur votre site. Dans cette section s’affichent également les valeurs des paramètres utm_term des liens trackés. Il est possible de dissocier ces données dans la section “Acquisition” puis “Campagnes”.
Il est possible (et fréquent) que les navigateurs ne transmettent pas le mot clé utilisé lors d’une requête. Le nombre de visites apparaît donc dans la catégorie “(Not provided)”. Ces données sont cependant disponibles pour les liens sponsorisés et dans la Search Console. Si “(Not set)” s’affiche, cela signifie que Google n’a pas reçu d’informations spécifiques à la donnée que vous souhaitez analyser (le lien entre le clic et le tracking n’existe pas, n’est pas renseigné ou a été perdu).

Comportement

7. Vues uniques
Les vues uniques correspondent au nombre de sessions sur une page.

8. Pages vues
Il s’agit du nombre de pages chargées par les utilisateurs de votre site. Si deux utilisateurs visitent la même page, Google Analytics comptabilise deux pages vues, et il en est de même si un seul utilisateur charge deux fois la même page (dans ce cas, une seule “vue unique” est comptée).

9. Pages/Sessions
Il s’agit du ratio entre le nombre de pages vues et le nombre de sessions.

10. Durée moyenne des sessions
Cet indicateur ne correspond pas réellement à la durée effective des sessions sur votre site. Le script Google Analytics est appelé lors du chargement de votre site, mais pas lorsque vous le quittez. Pour calculer la durée moyenne des sessions, Google ne prend donc en compte que les sessions comportant au moins deux pages visitées. Concrètement, si un utilisateur ne visite qu’une seule page d’un site, y reste un certain temps puis quitte le site, la durée de sa session sera quand même considérée comme nulle et ne sera pas comptabilisée par l’indicateur “durée moyenne des sessions”.
En fait, plus le taux de rebond est élevé et moins cet indicateur correspond à la réalité.

11. Taux de rebond
Le taux de rebond correspond au pourcentage de sessions pour lesquels le nombre de pages vues est égal à 1, c’est-à-dire les sessions pour lesquelles l’utilisateur est arrivé sur une page du site est l’a quittée sans cliquer sur un lien interne.
Autrement dit, plus vos visiteurs naviguent et chargent de pages sur votre site, plus le taux de rebond est faible. Il s’agit d’un indicateur à prendre avec des pincettes, puisque deux interprétations sont possibles : soit l’utilisateur a trouvé directement ce qu’il cherchait, et n’a donc pas eu besoin de parcourir plusieurs pages, soit au contraire il n’a pas trouvé ce qu’il cherchait assez rapidement et a quitté directement le site. La bonne interprétation de cet indicateur dépend donc du contexte, de la page analysée, du type de site analysé, etc.

Conversion

12. Objectifs réalisés
Sur Google Analytics, il est possible de définir des objectifs, tels que des événements, une page de destination, ou encore une durée de session. Comme son nom l’indique, l’indicateur “Objectifs réalisés” permet de comptabiliser le nombre d’objectifs remplis sur une période donnée, et donc de suivre les performances “business” de votre site.

13. Valeur de l’objectif
Cet indicateur correspond à la somme globale des conversions réalisées. Il est possible d’attribuer une valeur à chaque objectif, qui correspond à une estimation. Par exemple, on peut estimer le prix moyen qu’une inscription à une newsletter peut rapporter. En activant le e-commerce sur Google Analytics, il est possible de synchroniser le prix des paniers validés à la valeur des conversions afin de suivre le chiffre d’affaire généré par votre site.

14. Taux d’abandon (e-commerce)
Il est possible de définir des tunnels de conversion, avec plusieurs étape. Le taux d’abandon correspond donc au nombre de sessions qui ont amorcé le processus défini par le tunnel de conversion mais qui ne l’ont pas finalisé. Pour un site de e-commerce, il s’agirait par exemple d’un utilisateur qui remplit son panier mais ne le valide pas.